Utera, dis moi
Gonflée de lumière de lune
D’une pureté que je ne me sens pas mériter
Petit bassin trop étroit, pour ces rêves que j’entrevois
L’Energie frustrée peut alors se déchaîner
Mais toujours renaît, cette chose que je ne sais nommer
La peur la vie la mort
Vivent en moi, au creux
Le vide le plein
Le nouveau l’ancien
Les saisons s’y succèdent
L’intuition la tapisse
Cave précieuse, trésors renfermés